La rencontre

Quelle beau soleil cette après-midi, c'est tellement éblouissant, malheureusement ce n'est pas de la neige, mais peu importe profitons de cette journée d'été et de congé. Ça ne m'arrive pas tous les jours d'avoir un congé avec un si beau soleil.
J'allais rester dans mon appartement croyant qu'il allait faire un temps pitoyable, mais finalement il y avait une belle lumière. D'un coup de tête, je pris ma voiture et je me suis mise en route vers Marina pour profité de la plage.

Le ciel est un bleu étourdissant me dis-je marchant sur la plage.Cette plage est toujours aussi bondé de monde, ça ne changera jamais j'imagine mais je trouve que ça fait son charme, je trouve toujours une petite place pour y marcher. J'enlève mes sandales pour sentir le sable ainsi que de petits coquillages sous mes pieds, d'ailleurs je pense que ces petits coquillages me serviront bien pour faire un socle dans une de mes créations, je ne suis pas venue que pour le soleil au moins. Je ramasse donc des coquillages, je fais bien attention de ne pas en prendre un, pareil qu'un autre, je ne veux pas que ce socle soit symétrique par rapport à l'autre côté, sinon il n'y a plus de créativité, enfin ça, c'est ce que je pense.

Enfin ! J'ai fini de ramasser des coquillages, je commençais à fatiguer, ça doit faire 2h que je cherchais des coquillages hors du commun, mais il est maintenant 17h. Il va peut être falloir que je rentre, enfin j'ai encore le temps.

Je marche encore, quand soudain, quelqu'un passe à côté de moi et me bouscule, je tombe comme une crêpe, comment on peut bousculer une personne alors qu'on fait attention à cause, du monde qu'il y a. Je ne connaissais pas cette personne, ce que je voie au début c'est sa grande tignasse rousse, je la trouvais magnifique, mais m’abstins de le lui dire, la colère, elle, prit le dessus et je lui crie :

« Vous ne pouvez pas faire attention avec tout ce monde ! Je me suis étalée par terre Madame !»

Elle avait l'air elle aussi en colère, ça devait être à cause du ton que j'avais pris avec cette dame, mais ce n'est pas de ma faute, je suis comme ça !