Susceptible, il est aisé de le mettre en colère. Peu de personne arrive à le calmer, au fait elles se compte sur les doigts d'une main et son boss en fait partie. Il est du genre à montrer qu'il a raison quoi qu'il arrive, seul son supérieur lui apprend l'humilité. Colérique, il se met facilement dans des états pas possibles pour des bêtes trucs à cause de sa susceptibilité. Explosif, que ça soit par son pouvoir sur le feu que par le caractère. Quand il a des sentiments, cela se remarque tout de suite, il devient excessif. Il aime, il sautille partout. Il déteste, il fera exploser ce qui le fâche. Terroriste, il aime faire exploser des trucs, c'est son passe-temps préféré, si votre réveil vous explose en pleine figure, vous pouvez être presque sûr que c'est un coup de cet homme. Fonceur, il est prêt à tout pour arriver au but que s'est fixé son boss. S'il doit se mettre en danger pour y parvenir, il n'hésitera pas une seule seconde.   Intelligent, à peine il a le temps d'observer une chose qu'il en comprend son fonctionnement, néanmoins, ce n'est pas parce qu'il le pige tout immédiatement que cela ne l'empêche pas de s'énerver pour des choses futile telle qu'une mouche ou quand ce qu'il fait prend trop de temps. Manque énorme de confiance en lui et en ses capacités, il ne se fait jamais confiance, même quand il est dans le bon ce qui arrive souvent étant donner sa grande intelligence. Il cache cette partie de sa personnalité sous un masque d’indifférence ou de colère. Passionné, il aime ce qu'il fait sur l'instant où il le fait dès qu'il sort de son rôle, ses doutes le reprenant et ça l'énerve. Il est à fond dans son rôle de bras droit, il fait tout son possible pour être à la hauteur des attentes de son dixième du nom. Sa passion est très remarquable. Digne de confiance: dès qu'il vous accorde sa confiance, il est prêt à tout pour vous défendre, même à se sacrifier son propre bonheur. Schizophrène: Le dieu qui l'habite s'exprime parfois, il est possible qu'il mette son grain de sel dans les discussions.

  Biographie

Véridiano est un fils à papa, il excellait dans l'art de jouer du piano, malgré son caractère déjà bien marqué. Il faisait déjà exploser des trucs quand il n'était pas content, avec des explosifs. Il grandit ignorant la vérité que cachait son père. Alors qu'il avait fini de jouer un morceau plutôt compliqué. Il sauta sur ses petites jambes du haut de ses sept ans, fusillant du regard la servante qui lui ressemblait vaguement. Il souleva un sourcil, il se dit qu'il demanderait à sa mère ce qu'il en était. Il se mit à table en soupirant, ses cheveux argentés tranchant avec la blondeur de la dame qui l'élevait. Il la regarda de haut en bas.

-Mère ? Pourquoi la boniche me ressemble que vous ?

La dame qui l'avait élevé ouvrit la bouche et se leva avant de lui mettre une baffe. Il la regarda avec toute sa haine qu'il pouvait ressentir en ce moment, ce n'était pas sa mère, pourquoi méritait-elle sa considération ? Et son père lui avait menti, il allait en finir avec cette vie. Il touchait la main de sa mère officielle. Il la regarda et sortit de la dynamite de ses poches et le jeta sur la dame. Il se mit à courir fuyant sa famille, le gosse avait sept ans. Il n'allait guère vite, pas habitué de faire du sport à cause de sa vie bien trop confortable. Il sortit du manoir qu'il faisait exploser suite à cette révélation, il se promettait que plus jamais il ne ferait confiance aux gens. Il tournait les talons et se retrouvait dans la rue. Il apprenait que la vie n'était pas simple lorsqu'on était pauvre, on ne mangeait jamais à sa faim, on devait se débrouiller. Le pauvre enfant ne comprenait pas, mais un homme étrange à la chevelure dorée, il avait un sourire rassurant. Il prit le gamin qui s'agitait dans tous les sens. Le blondinet ne broncha pas. Il mit le gamin devant une table bien remplie. L'estomac de ce dernier réclamant à corps et à cri ce repas. Il hésita avant d'entendre la voix de ce dernier si grave, qu'il en frissonnait de tout son long. Il regarda la table, avant de se jeter sur le repas. Il avait vraiment faim. Il avalait ce repas offert, il était bon, le meilleur depuis maintenant des semaines. L'homme s'approcha de lui et posa une main sur l'épaule du jeune garçon.

-Tu es bien jeune pour être à la rue jeune homme. Que dirais-tu d'être sous ma protection, je te promets que tu mangeras à ta faim et qu'on t’embêtera plus. Tu peux oublier ta vie d'avant aussi, si tu le souhaites.
-Monsieur, vous êtes bizarre, j'ai des dynamites, si vous manquez parole, je ferai comme avec mes parents, je vous exploserai sans aucun remords. Je veux bien de votre protection.

Il se mit à rire avant de frotter la tête de l'enfant énergiquement. Le blondinet avait l'habitude des menaces. Ce n'est pas un enfant qui allait lui faire peur. L'homme voyait son fils dans ce jeune garçon. Il se disait qu'il ferai un bon camarade pour ce dernier avant il devait un peu le calmer car cet enfant avait bien écorcher son bras et ce malgré sa faiblesse due à la faim. Il soupira et subit les plaisanteries du gamin. L'enfant n'avait pas confiance en cet homme, il n'avait pas confiance en lui. Il s’énervait, il lança furieusement ses explosifs jusqu'à en manquer. L'homme le prit dans ses bras.

-Garçon, je vais te calmer.
-Essaye toujours, enfoiré.
-Je vais apprendre à respecter tes supérieurs, petits.
-Crève toujours !

Le blondinet attacha le gamin et l'enferma dans une chambre. Le gamin vit une ombre au loin qui fuyait, un enfant comme lui. Il se mit à paniquer si ce type allait le violer, il était mal. Il se tortillait pour fuir la prise de cet homme. Il le mit sur le lit avant de le regarder.

-Je reviendrais quand tu seras calme.
-Plutôt crever !

Il soupira laissant le garçon à lui-même. L'enfant bougea, essaya de couper les cordes avec ses dents, mais n'arrivait pas à se détacher de ses liens. Il fit mal en faisant cela. Il arrêta et regarda le plafond. Il le fixa un moment quand il entendait une voix lointaine dire tout bas « pas encore prêt ». Il rogna doucement espérant que ce vieux pervers ne l'observait pas. Il attendit un moment, se calmant doucement, le lit était confortable, il s'endormit ainsi. Quand le blondinet revint, il détacha le gosse et lui mit une couverture sur lui. Un homme fit son apparition.

-Neuvième du nom, pourquoi avoir sauvé, ce gamin, il est dangereux, vous ne connaissez pas sa réputation.
-Je la connais très bien. C'est pour cela que j'en ferai le bras droit de mon fils.
-Vous êtes fou, il faut quelqu'un de calme, pas un excité du bulbe comme ce gamin.
-Peut-être. C'est mon choix, quelque chose me dit que j'ai raison.

L'homme sortit de la pièce, il passa une main dans ses cheveux comme les blés. Le jeune homme se réveilla en découvrant qu'il n'était plus attaché, il s'étirait un peu. Il était un peu engourdi par cette immobilisation forcée. Il se marcha vers la porte et sortit de la chambre. Il se balada dans les couloirs, il tombait sur une pièce vide seul un piano se trouvait au centre. Il se mit derrière et caressa les touches sans faire une seule note. Il commençait à jouer doucement timidement suivant son envie, sa musique était triste. Il ne remarqua pas que le blondinet l'observait dans un coin. Il sortit de la musique rassuré et un peu honteux.

-C'était nul, je suis qu'un raté, un fils de boniche.
-Maintenant, tu es le fils adoptif du neuvième parrain de la mafia.

Le garçonnet sursauta et se retrouvait face au blond qui lui souriait tendrement tout en gardant une distance respectueuse entre eux. Il se recula et se trouva dos au mur. Le jeune garçon rougissait furieusement à cet homme. Il se sentait apaisé par ce type, il ne comprenait pas. Et ce qu'il ne comprenait pas l’énervait. Il n'avait rien pour faire exploser ce qui ne saisissait pas.

-Pourquoi moi parrain ?
-Parce que je vois de la puissance endormie en toi, jeune humain, ta destiné est grande, la mafia t'aidera en contre partie, je te demande de nous être fidèle.
-Je ne suis pas puissant, je suis qu'un misérable rat, parrain.
-Ne dis pas ça, c'est quoi ton nom ?
-Véridiano Terence Fire Fazzo.
-Comme mon Fils, il se nomme Fire.

Le jeune garçon resta sans voix, le blondinet frotta ses cheveux avant de s'en aller, ça devait être un homme occupé. Il se mit en quêtes des explosifs sans les trouver. Il n'avait rien trouvé, il ne trouva rien pendant plusieurs années, le jeune garçon grandissait en apprenant ce qu'était la mafia. Plus il passait du temps avec le blondinet, plus il l'appréciait comme un vrai père. Véridiano tenta même d'enseigner le piano à cet homme occupé.
A ces treize ans, il sortit du quartier général et arriva au kiosque en pierre. Là, il fut aveuglé par une lumière blanche, il écarquillait les yeux, étonner par cette étrange vision, un homme plutôt laid lui souriait et le pointait du doigt. Il se recule et se retrouvait les fesses sur la pelouse du jardin du neuvième du nom. Il avait peur, l'adolescent tremblait de tout son être l'homme difforme s'approchait de lui en riant.

-Toi, tu es vraiment l'hôte parfait en attendant que je retrouve mon corps d'origine.
-Vous êtes un fantôme ?
-Un peu de respect, microbe, je suis Héphaïstos, le dieu du feu et de la forge.
-Rien que ça.
-Et puis quoi encore enfoiré ?
-Cela fait un moment que je t'observe et je peux te donner des pouvoirs si tu m'héberges dans ton corps minuscule.
-Hé je suis un adolescent, je grandis encore, la mocheté tu rouspètes pas.
-C'est vrai que j'y gagne au change, tu es bien fait pour un mortel.
-Va te faire foutre.
-Avec plaisir

L'entité s'approcha de lui et là une fillette prononça une formule d'un rite ancien, ses cheveux blancs restèrent dans la mémoire de l'adolescent, il se jura qu'il la retrouverait pour lui faire la peau. Il se sentait tout bizarre et fiévreux, le contre coup de son nouveau statut d'hôte. Il s'évanouissait dans le jardin et fut trouvé par le parrain. Il le porta dans sa chambre, bouillant de fièvre. Il s'occupa du jeune garçon essayant tant bien mal. Il se réveilla quelques jours plus tard, il se sentait fiévreux

-Utilise les flammes mon petit.
-Je ne me sens pas bien.
-Accepte ton sort, tu te sentiras mieux, tu te découvriras un pouvoir qui va beaucoup te plaire.

Véridiano ravala sa salive, il toucha un bibelot, il bégaya un mot au hasard et ce dernier explosa en mille morceaux. Il se mit à rire.

-Mais c'est génial ! Je peux faire exploser des trucs sans dynamite, c'est génial.
-Je t'avais dit que j'étais pratique petit, vivement que je retrouve mon vrai corps, car ces pouvoirs sont encore petits par rapport à ce que je peux faire. Essaye le feu la prochaine fois.
-Je ne suis pas capable.
-Je ne t'ai pas choisi pour rien gamin, n'oublie pas ce que t'a dit cet homme, je suis le tournant de ton destin. Celui qui te rendra puissant.

Le jeune adolescent apprenait à vivre avec ce dieu squatteur qu'il commençait à respecter de plus en plus, mais n'aimait pas trop que son corps serve de gourde de transport. Il s'énerva et fit exploser autour lui les objets en aboyant le mot déclencheur des explosifs. Il en avait marre de cette situation. Il se demandait comment le parrain prendrait son pouvoir.

-Parrain, je...
-Quoi ?
-Je me suis fait parasiter par un dieu.
-Je savais que tu étais spécial, un esprit d'un être supérieur t'habite à présent. Je compte sur toi dieu  pour essayer d'effacer les doutes de cet enfant.

Il se mit à la hauteur de l'adolescent, prit de doute. Il frotta ses cheveux doucement en souriant. Il était content pour lui, mais ça voulait dire que ce dieu pourrait effacer la personnalité de ce jeune garçon.

-Je compte reprendre mon corps, monsieur le parrain.
-Notre Véri sera vous retenir par son caractère.
-Une tafiole qui doute c'est tout.
-C'est vrai qu'il manque de confiance, mais c'est une personne très fiable malgré son côté explosif, il ne m'a jamais trahi depuis que je l'ai accueilli sous mon toit.
-C'est bien le point positif, c'est ce gamin fidèle et joli garçon, même pour un hétéro comme moi.
-Tu apprendras à l'aimer cher dieu.
-On verra.

Le blondinet sortit de son bureau bien décidé à parler de sa future succession avec les membres de la famille. Pour Veridiano, il apprenait à faire face à ces pouvoirs et les utiliser pour son parrain, cet homme qu'il considérait comme un père. Le neuvième du nom était un homme formidable. Il faisait face à ces flammes et passait des années avant que le neuvième vienne à lui.

-Petit, je te confie mon fils, tu seras son bras droit.
-Parrain, pourquoi moi, je ne suis qu'un moins que rien.
-Pas de discussion, sinon je me fâche.
-Entendu parrain.

Il ne discuterait pas les ordres de son supérieur, son père adoptif, il l'avait aider toutes ses années et ce malgré sa manie de tout faire exploser. Il seconderait son fils avec hargne au point que ce dernier ne pourrait pas être entièrement libre. Enfin pour ça il devait le rencontrer, ce qui semblait assez difficile pour le moment.
   
Pouvoirs & Armes

Pyrokinésie ∞ Maîtrise du feu, il peu créer des petites flammes de cinq centimètres de diamètres. Il peut aussi raviver n'importe quel feu de camps s'il le désire
Toucher dynamite ∞ Tout ce qu'il touche deviens explosif, cependant il doit prononcer le mot d'activation pour que son pouvoir soit effectif
Compréhension intuitive ∞ Le pouvoir d'analyser des systèmes complexes et de comprendre intuitivement leur mode de fonctionnement sans éducation ni entraînement spécial.


Il s'éveillera

CHAMP DE FORCE ∞ Permet d'isoler une cible dans un champ de force invisible ou de se protéger d'attaque offensive. Néamoins, il ignore encore ce pouvoir pour le moment, il se développera au contact de son boss.


Écran magique

Je suis un DC méchant vilain pas beau. Je compte sur ce perso pour faire passer ce qui me préoccupe. Excusez par avance le caractère de merde de ce perso (PLEINS DE LICORNES SUR TON CODE ♥)

Code:

[b]Gokudera Hayato[/b] de [i]Katekyo Hitman Reborn[/i] est Veridiano T. F. Fazzo.