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EFFY ಞ vous n'oublierez jamais mon nom.

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MessageSujet: EFFY ಞ vous n'oublierez jamais mon nom. EFFY ಞ vous n'oublierez jamais mon nom. EmptyJeu 30 Jan 2014 - 18:47




Tu es charisme ; tu séduis, influences les personnes qui sont autour de toi. Tu les fascines par tes attitudes, ton physique, tes paroles. Tu troubles, tu neutralises le récepteur de tes paroles. Il est tellement aisé, pour toi, de manipuler, de tromper, par un simple sourire. De ton charme émane de l’éloquence. Tout ceci forme un tout qui fait de toi la chef de meute, le leader de toute ta bande.
Tu es orgueil ; tu méprises tout le monde, sauf toi. Tu es imbue de ta personne, tu te crois d’avantage au dessus des autres. Tu as une opinion exagéré de tes valeurs personnelles, tu manques cruellement d’humilité. Tu es fière de ce que tu es, fière de ce que tu vas devenir, fière de tout ce que tu entreprends.  
Tu es enthousiasme ; tu es dévouée à tes causes, tes quêtes, et tu l’exprimes par de l’excitation, de la joie et de la détermination. Tu es décidée dans tes choix. Tu sais ce que tu veux et tu l’auras, quitte à piétiner les autres, tu ne faillis pas. De ce fait, tu es une personne très sociable, toujours à trouver des excuses pour te présenter et parler.
Tu es curiosité ; tu as toujours envie de tout savoir, envie de tout comprendre. Tu aimes connaître et ferais tout pour un brin de connaissance. Cultivée est un mot te correspondant bien, aussi. Tu aimes, également, connaître les secrets des autres. On peut dire que tu es une véritable commère.
Tu es arrogance ; tu méprises autant que tu peux, les personnes autour de toi ne sont pas aussi parfaite que toi. Tu te sais jolie, intelligente et charismatique, ce qui fait que tu ne peux t'empêcher de rabaisser le monde. Tu es fière de qui tu es, fière de ton rang de bâtarde, fière d'être la soeur d'Elena et fière d'être une Rhodes.
Tu es hypocrisie ; tu exprimes des opinions, des sentiments que tu n'as pas, que tu n'approuves pas. Tu ne dis jamais ce que tu penses réellement, ce qui révèle une stratégie personnelle. Le menteur ment et toi, tu mens en suivant des chemins détournés.
Tu es instabilité ; tu es incapable de rester toujours centrée sur la même humeur: c'est comme une roue que tu tournes toutes les heures, une roue des humeurs. Tu ne réfléchis pas, tu n'annonces pas, et tu peux devenir la pire garce alors qu'une demi-heure avant, tu étais l'être le plus doux (faux, faut pas exagérer.)
OPHELIA ELIZABETH RHODES dites EFFY; 21 ans; chasseuse de vampire; JUNKO ENOSHIMA de Danganronpa; hétérosexuelle; étudiante en arts (danse)



histoire
Tu es née un beau jour de février … STOP,  c’est de l’ironie. Ta mère était une catin, une femme de plaisir qui ne vivait que pour la luxure. Elle ne supportait pas l’idée d’avoir un enfant, d’autant plus que tu n’avais pas de père. Elle redoutait l’idée de devoir fidélité à un homme qu’elle n’aimerait pas, un homme qui ne la paierait pas pour ses services. Tu n’étais pas désirée jusqu’au jour où ton ‘père’ est entré dans la chambre de ta mère. Elle y a vu l’occasion de te faire passer pour la fille du compte Rhodes, d’avoir un homme qui la débarrasserai de toi, un homme qui la paierait parce qu’elle te dirait fille biologique de cet homme là. Seulement, tu es née et elle est morte. Monsieur Rhodes s’est trouvé très embarrassé de ta présence, de ton statut de bâtarde, pourtant il t’a adopté. Sous le coup de l’amour, sous la gêne ou sous la bonté ? Tu ne le sais pas et tu ne le sauras jamais. Née en avance, tu es restée près de cinq mois à l’hôpital, l’homme payant tes soins. Au bout de ces cinq mois, ton père t’a emmené chez une femme de la campagne, une femme qui devait s’occuper de toi jusqu’à tes cinq ans, âge auquel tu saurais parler, tu sauras écrire et lire, âge auquel tu pourrais devenir prétendante au titre d’héritière de la famille. Finalement, tu vécue heureuse auprès de cette fermière. Elle t’a enseigné tellement de chose, cette femme, tu l’as aimé, c’était celle que tu aimais le plus.

Cinq années passèrent et il vint enfin te chercher. Il s’était comporté comme si vous n’aviez jamais cessé de vous voir. Toi, tu étais surprise, tellement que tu t’es mise à pleurer. Alors la petite fermière et ton père t’ont consolé mais rien n’avait séché tes larmes. Le temps était vite passé et tu dus dire au revoir à ta tutrice. Une limousine vint enfin vous chercher et tu partis pour la villa des Rhodes. Tu fus accueilli comme le messie. On te pressa de fleurs, de gourmandises, de vêtements d’une beauté rare. Tes belles-sœurs t’emmenèrent dans votre chambre, car vous la partagiez, et tu découvris la magnificence d’une vie riche. Tes parents t’ont inscrite à des cours de danse, de chant et de piano. Tu pris beaucoup de plaisir pour la danse et le piano. Le chant n’était pas ton fort. Ton père vous fit prendre des leçons d’escrime, sport où tu excellais. Tes sœurs, étant plutôt nulles, furent virées au bout d’un mois. Ton professeur, aussi, par la même occasion. En effet, ton père reprit le cours et t’entraîna de lui-même. Du fleuret, tu es passée à l’épée puis à la rapière pour terminer par les poignards. Tu n’étais pas à l’aise avec ces derniers, tu repris ainsi les lames longues. Peu à peu, ton père t’enferma dans la maison, construisant ton éducation de façon stricte et t’obligeant à abandonner la danse pour te concentrer d’avantage sur tes cours d’escrime. Ce fut là, le début d’un massacre.

Ton père t’entraînait sans arrêt. Il testait constamment tes réflexes, ta force et ton intelligence. Il te fit lâcher tes autres cours pour que tu t’intéresses encore plus aux leçons de combat. Lorsque tu fus plus âgée, il t’expliqua enfin la vraie raison à tous ces exercices. Tu allais simplement reprendre le flambeau dans la chasse aux vampires. Un sourire s’était dessiné sur tes lèvres d’enfant, tu avais simplement cru à une blague. Les vampires n’existaient pas, c’était de simple conte pour enfant. La réalité s’imposa lentement à toi lorsque ton père te mit face au meurtre d’une femme, par un buveur de sang. Encore, à ce moment là, tu refusais d’y croire. Seulement, les larmes aux yeux, tu t’y résignas. Tu repris l’entraînement de plus belle, sans te soucier de ta sociabilité. Doucement, tes sœurs te tournèrent le dos, et ton père t’en demandait beaucoup trop. Un soir, tu faillis, devant ton père, excédée par tout ce travail. Tu avais sentie ton sang bouillir dans tes veines, les pleurs coincés dans ta gorge, tu avais explosé, dévoilant, ainsi, tes pouvoirs cachés. Tu avais crié et ton père avait été propulsé dans les airs. Tu avais brisé les vases par la force de ton regard haineux avant de t’enfuir dans ta chambre et de pleurer comme l’enfant que tu étais encore. Quelques instants plus tard, il vint frapper à la porte de ta chambre afin de s’excuser du boulot qui te laissait à bout de nerf.

Les entraînements reprirent mais ton père calma le jeu. Tu pus te remettre à la danse et à la natation, tes passions premières. Chasser les vampires devint, alors, plus attrayant à tes yeux et tu pus faire ton premier meurtre, l’esprit serein. Tu te mis, aussi, à étudier les livres sur ces mythiques créatures, les dévorant pour la plupart. Plus tu avançais dans les âges, plus tu te mis à trouver passionnants ces êtres au sang démoniaque, plus tu te mis à trouver amusant de les tuer. Néanmoins, tous ces plaisirs te dévièrent des personnes, n’ayant plus qu’un père comme ami et mentor. Puis, le même régime que tu avais connu, quelques années auparavant, revint : plus le droit de sortir, juste se concentrer sur la pratique. Ton père devint plus strict et froid. Même tes sœurs t’avaient tournées le dos, elles te le firent prendre conscience ce jour là, tu sais ce jour où tu as, de nouveau pété les plombs, où tu as tout envoyé valsé après deux ans d’abstinence. Tu te rappelles de ce jour, il est gravé pour toujours dans ta mémoire. C’était un jour pluvieux et tu étais allée acheter des nouvelles ballerines pour la danse. Tu y avais trouvé tes sœurs, avec des garçons. Elles t’avaient regardé d’un air méprisant avant de se chuchoter des choses. Tu avais laissé courir jusqu’à qu’elles t’humilient en te faisant tomber, par terre. Tu avais explosé de nouveau, laissant ton pouvoir t’envahir et avait projeté tout le beau monde dans les airs. Quelques minutes après, tu gisais à terre, inconsciente. Lorsque tu repris connaissance, tu vis le visage de ton père.

« Franchement, tu ne me sers à rien. »
« Père … ?
« Comment ais je pu croire … Non, comment ais je oser croire que tu pourrais me remplacer ? »
« Que … ? »
« Tu fais du mal à tes sœurs, tu ne t’occupes pas de ton corps et tu ne m’écoutes pas. Tu sais dans quelle histoire nous sommes, petite idiote ?! »
« P-p … »
« Tu sais que nous sommes en concurrence ?! Nous sommes les derniers dans la famille Rhodes ! Et c’est à cause de toi ! Rien qu’à cause de toi ! Petite idiote ! Tu vas rester enfermer ici, jusqu’à qu’tu prennes conscience de ce qu’il se passe dans la famille ! Ouvres tes yeux, gamine ! »

Il était parti en claquant la porte, la porte d’une si petite pièce. Il n’y avait ni fenêtre, ni bouche d’aération, seulement une couverture. Tu te mis à tambouriner contre la frêle porte, tant que tu te fis saigner, tu te mis à hurler que t’en perdis ta jolie voix. Finalement, tu t’étais laissée glisser à terre, avais mis le petit plaid et avais sangloté silencieusement. Pendant un temps indéterminé, tu te mis à penser à ta mère : la petite bergère, pas la catin. Tu t’étais remémorée lorsque vous aviez regardé les étoiles, chose que tu n’avais pas faite depuis un certain temps. Des souvenirs heureux étaient remontés à la surface et tu avais rigolé et pleuré à la fois. En fin de compte, tu avais fini par t’endormir. Ton père vint te chercher le lendemain, en te soulevant par un bras, de manière brusque. Tu t’étais réveillée en sursaut et tu l’avais regardé dans les yeux, un air déterminé sur le visage. Il avait souri et t’avais jeté de l’autre côté de la pièce. Tu t’étais relevée, d’un seul bond, avant de te mettre en position de combat. Seulement il t’avait applaudi et était, de nouveau, parti. Tu en avais conclu que tu avais quartier libre. C’est ainsi que tu es allée retrouver la jolie bergère. Sur le chemin, tu avais croisé ta sœur, Elena. Tu avais détourné le regard quand elle t’avait appelé. Elle s’était mise à courir vers toi et tu avais prié pour qu’elle te lâche.

« Ef’ ! Effy ! Attends moi, deux secondes ! »
« Qu’est-ce que tu me veux ? »
« J’voulais m’excuser pour la dernière fois … C’est … Je voulais pas te pousser à bout … Mais t’sais comment est Elodie, hein ? »
« Okay, c’est cool. »
« Non mais attends ! J’voulais t’demander, aussi, si tu pouvais m’apprendre tes tours de magie, c’est trooop classe ! »
« Tour de magie ? Mais t’as cru quoi ?! Cette chose, j’peux pas la contrôler ! Je sais pas c’qui s’est passé ! »
« O … oh … Tu vas où ? Faire du shopping ? J’peux venir avec toi ? »
« Non. »
« Aller ? »
« Non. »
« St’eu plait ? »
« Non. »
« Je vais prendre ca pour un ‘oui’. »

Elle t’avait alors suivie. Tu avais tenté de la semer, mais en vain. Elle te suivait, quoiqu’il arrive. Pour te détendre, tu lui avais parlé et tu avais commencé à apprécier sa compagnie. Vous traitiez, à peu près, tous les sujets. Tu lui racontais tes leçons de combat et, elle, elle te parlait de la grosse femme qui lui servait de professeur de piano. Vous aviez passé la matinée ensemble, à bien rigoler. Lorsque tu te souvins où tu devais ailler, tu la laissas en plan. Une demi-heure de marche suffit pour retourner vers la petite prairie où des moutons broutaient l’herbe. Ta mère ne te reconnu pas de suite puis quand l’information arrive au cerveau, elle te prit dans ses bras. Jusqu’au soleil couchant, vous aviez discuté. Tu lui avais parlé de ton père, de son régime strict, de tes pouvoirs … Tellement de chose … Lorsque tu lui avais exprimé que tu faisais de la magie, elle ne fut pas surprise. Elle avait posé une petite main sur ton corps et d’étrange rune était apparue sur ton torse, tes épaules. Tu n’avais rien compris jusqu’à qu’elle t’explique pour ton pouvoir « fourreau ». Pour finir, elle t’avait donné un sabre. Pas un tout simple et tout, un pompeur de sang. Un sabre qui se nourrissait de sang afin de ne pas rouiller. Lorsque le soleil fut derrière les montagnes, tu rentras chez toi.

Pour la dernière partie de ton histoire, il faut en mettre plein la vue. En effet, dans cette période là, tu as tout perdu. C’est-à-dire : la bergère, Elodie (même si c’est pas une très grosse perte), ton père, ta belle-mère. Il ne te reste plus qu’Elena. La gentille et naïve Elena. Celle qui est allée répéter que tu étais allée voir ta tutrice, à ton autre sœur, qui est, ensuite, allée le répéter à ton père. Père qui a décidé, pour se venger, de tuer cette nourrice. Tu te rappelles de toutes les larmes que tu as versées ? Toutes ces larmes de haine et de tristesse. Tu te souviens l’impression de pouvoir que tu avais ce jour-là ? Rappelles toi, rappelles toi à quel point tu étais ivre de rage. Souviens toi quel plaisir tu as pris lorsque la lame a rencontré le cou, si tendre, de la sale Elodie. Rappelles toi la sensation que tu as éprouvé lorsque sa tête est tombée sur le sol carrelé et blanc. Te souviens tu de l’excitation que tu as éprouvé lorsque tu as vu son sang, si rouge, tâché le blanc immaculé du sol ? Oui, tu t’en souviens, mais ca reste un souvenir plutôt amer vu que tu as perdu un être cher, puis deux, pourquoi pas trois ? Non, non, malgré tout, Elena est restée avec toi. Elle s’est occupée de toi. Elle a pris son courage à deux mains et nettoyé le bazar sanglant, en te disant être une héroïne, en te disant que tu as enfin libéré le mal de cette maison. Mais quel mal ? Tu n’as jamais compris. Dans cette histoire, l’héroïne n’est pas toi, mais ta sœur. C’est grâce à elle que tu es vivante, mais chassée de la maison familiale, grâce à elle que tu as découvert ton don. Puis, maintenant, c’est elle qui t’héberge dans son joli appartement. C’est elle qui ramène les sous de votre père, en ayant un travail (illégal) pour tout payer. C’est elle qui t’a délivré et, pour la remercier, tu continues de « chasser » le mal et les vampires, restant dans la compétition des Rhodes.

pouvoirs

sword ∞ tu possèdes un katana, offert par la femme que tu aimais le plus. Ce katana doit être purifié par mainte et mainte prière, et il doit être nourri par le sang de son maître, afin de ne pas rouiller.
cover ∞ ton corps est un fourreau grâce à d'étranges runes qui le tatouent. Ainsi, tu peux ranger ton arme à l'intérieur de ton corps. Pour ce faire, il suffit que tu traces, de tes doigts, le contour des symboles qui ornent ta chair, puis, il faut que tu récites une étrange prière dans une langue qui t'es inconnu. De temps à autre, tu te sens nauséeuse.
carrie ∞ tu as explosé et lorsque tu exploses, tout sort. Ton don s'est dévoilé lorsque ta rage a atteint son maximum, les objets ont volés en éclat et les personnes ciblées ont été éjectées. Seulement, tu ne contrôles ce pouvoir que lorsque tu veux déplacer de petits objets sinon tu tombes dans le noir, l'inconscience.


moi&moi

HELLOW TOUT LE BEAU MONDE :Elena:Je m’appelle tu-sauras-pas mais on me surnomme de plein de façon différente. Tu peux m’appeler comme tu le souhaites, je m’en fous. Saches juste que ma signature est Sweet-Apple :3 Je suis née le 5 novembre et les scorpions sont les meilleurs, t’as rien à dire sur ça, hein ? normal, on vous casse tout, nous, les scorpions. Ton code est


Dernière édition par Elizabeth "Effy" Rhodes le Mar 8 Avr 2014 - 17:22, édité 10 fois
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Troll de Licorne

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MessageSujet: Re: EFFY ಞ vous n'oublierez jamais mon nom. EFFY ಞ vous n'oublierez jamais mon nom. EmptyMer 9 Avr 2014 - 9:38


FÉLICITATIONS ☠
Eh bien tout est bon pour moi. Ton personnage est haut en couleur et j'ai hâte de voir ce que ça donne en RP. Concernant le pouvoir, il n'y a pas de souci, surtout que, je crois, tu peux passer par la boutique pour t'en acheter une, ou échanger si cela ne convient pas.

Maintenant que tu es officiellement entré dans le monde de Breath, il te faut remplir quelques paperasse administrative mais facultative. Toutefois, vaut mieux les remplir quand même. Je te propose donc de venir faire un tour du côté du bottin des avatars. Ensuite, il te faut remplir ton profil et le tenir à jour suivant l'évolution de ton personnage et de tout le tralala.

Pour finir, je t'invite à venir créer ton topic de rps et ton relationnel. Et aussi venir chercher ton portable et aussi créer ton blog ! Tu peux aussi t'inscrire sur des réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter o/. Bon rp parmi nous !
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